Malgré tous les reproches et les critiques que l’on peut, légitimement, faire à l’UGTT, et son terrible silence sous la dictature, malgré les errements de sa direction actuelle qui, à peine investie, s’est livrée à de violentes et répétées attaques, injustifiées, contre le premier gouvernement élu; malgré les nombreuses grèves déclenchées, à son instigation, dans des secteurs névralgiques de l’économie, et l’abominable chantage, exercé par ses fédérations régionales, mettant en péril, à chaque fois, la stabilité et la sécurité, même, du pays;